Tank O3

L’histoire commence comme souvent avec un personnage principal. Geert, voyageur de longue date, a passé plus de 50 ans à sillonner les routes en camping-car. Un détail pourtant l’a toujours agacé : l’eau. Pas sa rareté. Sa qualité.

Bactéries, biofilm gluant, odeur suspecte dans la douche et encore tant d’autres problématiques. Les pastilles n’y faisaient rien, les produits chimiques non plus. Alors, comme souvent, dans les belles histoires, Geert a cherché lui-même une solution. Il connaissait les propriétés de l’ozone. Il a bricolé un premier prototype. Puis deux. Puis dix. Et à force d’ajustements, de tests et de routes parcourues, est né ce qui allait devenir le Tank‑O3 : un système autonome de traitement de l’eau par ozone, sans chimie et surtout sans produit nocif dans l’eau.

Le Tank‑O3 n’a pas fait de bruit, il s’est simplement fait une place.

Sur les aires de services, dans les groupes et les blogs de voyageurs, dans les parkings d’étapes ou autour d’un feu de camp, on se refile l’astuce : “Tu galères avec l’eau ? Essaye ça, tu ne le regretteras pas.”

Peu à peu, des milliers de fourgons, de vans aménagés, de camping-cars, de camions transformés se sont équipés de ce petit boîtier. Parce que le besoin est le même partout :

• Pouvoir boire l’eau de sa cuve sans s’inquiéter
• Ne pas trimballer 12 bidons

• Garder une installation propre et saine, sans manipulation quotidienne
• Se protéger des bactéries comme la légionelle, qui peut se transmettre en respirant la vapeur d’eau sous la douche ou en faisant la vaisselle, pas seulement en buvant.

Avec plus de 4 000 véhicules équipés en Europe, l’invention de Geert a aujourd’hui bien trouvé sa place.